"LA LUCARNE INCERTAINE"

 

- Le télégramme - avril 1999 - France

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 "Privilégiant l'ombre du sous-bois à la pleine lumière, cette musique là est celle de l'écoute, de l'attention à l'autre, de la notre justement placée pour créer l'harmonie et renforcer l'homogénéité."     Chronique de Jean Luc Germain

​ “Preferring the shade of the undergrowth to the full light, this music is one of listening — of attentiveness to the other, of our own presence precisely placed to create harmony and strengthen unity.”

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 - Improjazz - juillet 1998 - France

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 "Un très beau premier disque."     Philippe Renaud

 “A very beautiful debut album."

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- Ecouter Voir - mars 1998 - France

 

   "Quand on connaît l'exigence de Jean-Jacques Avenel, qui depuis plus de vingts ans est le contrebassiste de Steve Lacy, le fait suffit à nous convaincre de prêter l'oreille à la musique du trio. Une musique dont la sophistication, l'élégance et la concision renvoie à celle jadis jouée par Bill Evans."  Xavier Matthysen

  "Knowing the high standards of Jean-Jacques Avenel — who has been Steve Lacy’s double bassist for over twenty years — is enough to convince us to lend an ear to the trio’s music. A music whose sophistication, elegance, and concision recall that once played by Bill Evans.”

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- Le Nouvel Observateur - février 1998 - France

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   "On est resté longtemps scotché à "La lucarne Incertaine", le premier disque rêveur de ce jeune pianiste français."        Bernard Loupias

   "We remained captivated for a long time by La Lucarne Incertaine, the dreamy first album of this young French pianist."

   

- Jazz Around - février 1998 - Belgique

 

   "Là, vient cette osmose entre liberté du jazz moderne et apports harmoniques de la musique contemporaine, tout au long d'une écriture contrapuntique, qui incite à dire qu'il joue autant du trio que du piano.       Claude Loxhay

   "Here comes that osmotic blend between the freedom of modern jazz and the harmonic contributions of contemporary music, throughout a contrapuntal writing style that makes one say he plays as much the trio as the piano."

 

- Jazz Magazine - Décembre 1997 - France

 

   "Les compositions de Gaël Mevel, qui n'ignorent rien de la grande tradition de la musique française savent aussi convoqueer les codes du jazz le plus vif, sont source d'une ardente et lumineuse poésie, par la grâce de partenaires qui s'y entendent et s'y trouvent. Un très beau concert heureusement restitué par le disque."     Philippe Méziat

   "Gaël Mevel’s compositions — which are fully aware of the great tradition of French music, yet know how to invoke the codes of the most vibrant jazz — are the source of a burning and luminous poetry, through the grace of partners who both understand and find themselves within it. A beautiful concert, fortunately captured on record."

 

- Le Nouvel Observateur - novembre 1997 - France

 

   "Un jeune et nouveau poète français du piano. Pas un geste, pas une note de trop. Respiration profonde, respect du silence. Dans l'ombre, les trios de Paul Bley et Bill Evans veillent sur le sien."    Bernard Loupias

    "A young and new French poet of the piano. Not a gesture, not a note too many. Deep breathing, respect for silence. In the shadows, the trios of Paul Bley and Bill Evans watch over his."

 

- Le Monde - octobre 1997 - France

 

   "Disque en trio, enregistré dans le club le plus chaud du vieux Tours, Le Petit Faucheux. Au piano, Gaël Mevel, responsable des compositions ; à la batterie.

   Thierry Waziniak, plus près de Paul Motian que d'un marteau piqueur ; à la contrebasse, un poète grave, un des meilleurs artistes de l'instrument et de loin le plus effacé, Jean-Jacques Avenel. L'ensemble est dessiné pour qualifier une des réussites les plus significatives de la musique qui se joue au Petit Faucheux. Parce qu'on n'y joue pas la musique d'ailleurs. Conception égalitaire des rôles, libertaire des circulations, élitiste des ambitions.

   C'est comme çà. Avec à la clef beaucoup de charme, de douceur, et quelque chose comme une algèbre mauve, la musique un instant immobile, comme étonnée de sa propre gloire, qui se laisse à la fin penser."         Francis Marmande

   "A trio recording, made in the warmest club of old Tours — Le Petit Faucheux. On piano, Gaël Mével, composer of the pieces; on drums, Thierry Waziniak, closer to Paul Motian than to a jackhammer; on double bass, a grave poet, one of the finest artists of the instrument and by far the most self-effacing, Jean-Jacques Avenel.

The ensemble is shaped to exemplify one of the most meaningful achievements of the music played at Le Petit Faucheux. Because there, they do not play anyone else’s music. An egalitarian conception of roles, libertarian in its interplay, elitist in its ambitions.

That’s how it is — with, in the end, much charm, gentleness, and something like a purple algebra: music momentarily motionless, as if astonished by its own glory, letting itself at last be thought."