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Label:

Leo Records ‎– CD LR 351

Recorded February 3 & 4, 2002

1 -  Le Rêve De Nathanaël Music By – Gaël Mevel3 :15

2 - Le Cirque Des Digues Music By [Improvised] – Didier Petit, Gaël Mevel, Jacques Didonato,  Jean-Jacques Avenel, Thierry Waziniak 2:48

3 - Le Tango Déboussolé Music By – Gaël Mevel 4:31

4 - PentalogueMusic By – Gaël Mevel 9:35

5 - Le Jardinier De Grenade Music By – Gaël Mevel 4:37

6 - Silences Music By – Gaël Mevel 4:47

7 - Marguerite Est Mélomane Music By [Improvised] – Didier Petit, Gaël Mevel, Jacques Didonato, Jean-Jacques Avenel, Thierry Waziniak 7:31

8 - Humus Pétrifolieux Music By [Improvised] – Didier Petit, Gaël Mevel, Jacques Didonato, Jean-Jacques Avenel, Thierry Waziniak7:31

9 - La Joue D'Albertines Music By – Gaël Mevel 4:23

10 - Le Clown Caressant Music By – Gaël Mevel 5:11

11 - Le Second Rêve De Nathanaël Music By – Gaël Mevel 2:27

 

  • Cello [Violoncello] – Didier Petit

  • Clarinet, Bass Clarinet, Soprano Saxophone – Jacques Didonat

  • Piano, Bandoneon – Gaël Mevel

  •  Bass – Jean-Jacques Avenel

  • Drums, Percussion [Percussions] – Thierry Waziniak

  • Liner Notes [French] – Gaël Mevel

  • Liner Notes [Translation (English)] – Dan Warburton

  • Photography By [Cover Photo By] – Eric Heddeland

  • Photography By [Inside Photo By] – Jay (128)

  • Piano, Bandoneon – Gaël Mevel

  • Producer – Gaël Mevel, Leo Feigin

  • Recorded By – Emmanuel Vaillant

  • Design – Judith Pincemin

QUINTET "La promesse du chant"

 

- The penguin guide - USA

 

   "Belle et presque inclassable, la musique de Mevel est d'une étrangeté captivante et surréaliste.

   Le premier album est cerclé par "le rêve de Nathanaël" et "le second rêve de Nathanaël", presque comme si l'auditeur subissait un profond glissement, tel le spectateur d'un film de Cocteau. Entre les deux d'étonnants travaux oniriques.

   "Silences" est un monde de minuscules chuchotements, et de pas silencieux. "Marguerite est mélomane" est surprenant, alors que "Le clown caressant" monte avec la merveilleuse ligne de violoncelle de Petit jusqu'à l'apogée, seulement interrompue par le le retour du rêve de Nathanaël.

   La promesse du chant, qui s'écoute mieux en une seule fois bien qu'il n'ait pas véritablement de continuité narrative, est un chef d'oeuvre moderne et discret."

 

- The Wire - février 2003 - Angleterre

 

   "Le titre "La promesse du chant" résume habilement une obsession majeure des compositeurs français des derniers 200 ans. De Berlioz à Debussy et puis au delà, en passant par Pierre Boulez, jusqu'aux membres du mouvement spectral tels Tristan Murail et Gérard Grisey, la préoccupation a été de rendre moins nette la démarcation entre la mélodie et l'arrière-plan harmonique en faisant quelque chose de plus fondu et broder le son avec la technique illusoire du trompe l'oeil.

   La musique du pianiste français, âgé de 36 ans, Gaël Mevel, porte cette empreinte tant ces performances réussissent à fusionner une approche de     l'improvisation d'un optimisme brillant et léger avec le genre de raffinement intense de la texture que l'on associe habituellement avec une partition écrite.

   Ainsi Mevel réfute et confirme à la fois le jugement du saxophoniste francophile Steve Lacy : "le jazz français c'est comme le champagne américain."

   Le soin détaillé avec lequel Mevel exploite les ressources combinées de son quintet se révèle au mieux dans sa composition très développées "Pentalogue".

   Au coeur de ce dialogue à cinq voix se trouve la basse enjouée de Jean Jacques Avenel autour de laquelle Mevel positionne judicieusement un spectre voilé de notes en sourdine de la clarinette de Jacques Di Donato, des harmoniques du violoncelle de Didier Petit et des éruptions débordantes de la batterie de Thierry Waziniak. Alors que la basse d'Avenel se rapproche de l'orbite de l'ensemble, le piano espiègle de Mevel prend le centre de la scène et la pièce se termine sur un choral bizarre et déformé, encore plus efficace car il oulie de s'annoncer. En paraphrasant la célèbre phrase de Dave Brubeck où il dit que son quatuor compte cinq membres : quatre musiciens et un public, Gaël Mevel affirme que son quintet compte six membres car le silence en devient un élément aussi fondamental que le son. Dans "Silences" des éclats de gravats sonores sont violemment interrompus par des étendus de silence. Tel Marcel Marceau répondant à un gag de Jacques Tati, le morceau prend une tournure humoristique alors que les silences s'étirent de façon imprévisible.

   Mevel propose ici un argument au parfum pleinement européen à la rhétorique de la musique d'improvisation et réussit ainsi des débuts 

   extraordinairement assurés."      Philippe Clark

 

- Audeo - janvier 2003 - Portugal

 

   Un des dix meilleurs disques de l'année 2002.

 

- Jazz Magazine - novembre 2002 - France

 

   S'appuyant sur des pièces courtes et un formidable sens de l'interplay, l'ensemble évolue sur des coquilles d'oeuf et laisse exhaler des senteurs échappées de l'école de Vienne et des plages de la West Coast. Un art de l'allusion et de l'intériorité.     Gérard Rouy

 

- Jazzosphère - 2003 - France

 

   "Le chant auquel nous convie Gaël Mevel s'annonce comme une invitation à contempler les richesses profondes et parfois obscures qui fondent notre intimité et dévoilent un peu mieux une réalité que nous laissons trop en exergue par facilité ou manque de sincérité. Gaël Mevel s'aventure ainsi avec plaisir sur les traces d'un chant épuré, guidé par des compagnons qui se lirent à un dialogue où les particularismes se transcendent en une musique vivante et inventive."

 

- All around Jazz - octobre 2002 - New York

 

   Un des six disques du mois de Steve Koenig

 

- Jazzman - Décembre 2002 - France

 

  "Pianiste au phrasé retenu, attentif au timre, Gaël Mevel affectionne les moments de latence, esquisses du souffle intérieur qui propulse la formation."

 

- All Music Guide - octobre 2002 - Canada

 

   "Cette touche française si particulière."      François Couture

 

- Jazzwise - novembre 2002 - Angleterre

 

   "Un disque convaincant et intéressant d'un talent à  suivre de près."

 

- Jazz Review - novembre 2002 - Angleterre

 

   "Les amoureux de l'abstrait devraient être encouragés à découvrir le rêve à travers la musique de Gaël Mevel."

 

- Jazz Notes - décembre 2002 - France

 

   "Un monde onirique, bourré de poésie. On flotte au milieu de chants qui vous promènent dans une fragilité constante où le murmure s'insinue."

 

- Bad Alchemy - février 2003 - Allemagne

 

   "Toutes les pièces émanent de Mevel qui, dans son génie fou, concocte une quasi-musique de chambre, introvertie, subtile et économique à la fois.

   A cinq, ils s'avancent prudemment comme sur la pointe des pieds, avec des lignes poétiques et mélodieuses, des éclats rudes et bruyants, aveugles d'intuition et sûrs de leur doigté, suivant la trace d'oiseaux indicateurs de chemins ténébreux."

 

-Blow up - décembre 2002 - Italie

 

   " La promesse du chant" devient, d'écoute en écoute, complexe et fascinant."

PRESS 

– The Penguin Guide – USA

“Beautiful and almost unclassifiable, Mével’s music is of a captivating and surreal strangeness.

The first album is framed by ‘Le rêve de Nathanaël’ and ‘Le second rêve de Nathanaël’, almost as if the listener were undergoing a profound drifting, like a spectator in a Cocteau film. Between the two, astonishing dreamlike works unfold.

‘Silences’ is a world of tiny whispers and silent footsteps. ‘Marguerite est mélomane’ is surprising, while ‘Le clown caressant’ rises with Petit’s marvelous cello line to its peak, interrupted only by the return of ‘Le rêve de Nathanaël.’

La Promesse du chant—best listened to in one sitting, even though it lacks any real narrative continuity—is a discreet, modern masterpiece.”

The Wire – February 2003 – England

“The title ‘La promesse du chant’ neatly encapsulates a major obsession of French composers over the last 200 years. From Berlioz to Debussy and beyond, through Pierre Boulez to the spectralists such as Tristan Murail and Gérard Grisey, the preoccupation has been to blur the boundary between melody and harmonic background—making something more blended, weaving sound with the illusory technique of trompe-l’œil.

The music of 36-year-old French pianist Gaël Mével bears this stamp, as his performances succeed in merging an approach to improvisation that is brightly optimistic and light with the kind of intense refinement of texture usually associated with written composition.

Thus Mével both refutes and confirms the judgment of francophile saxophonist Steve Lacy: ‘French jazz is like American champagne.’

The meticulous care with which Mével exploits the combined resources of his quintet is revealed most clearly in his fully developed composition ‘Pentalogue.’

At the heart of this five-voice dialogue is Jean-Jacques Avenel’s playful bass, around which Mével deftly positions a veiled spectrum of muted clarinet tones from Jacques Di Donato, cello harmonics from Didier Petit, and Thierry Waziniak’s exuberant drumming. As Avenel’s bass gravitates toward the ensemble’s orbit, Mével’s mischievous piano moves to center stage, and the piece ends on a bizarre, distorted chorale—all the more effective for arriving unannounced.

Paraphrasing Dave Brubeck’s famous remark that his quartet had five members—four musicians and an audience—Gaël Mével declares that his quintet has six, since silence becomes as fundamental an element as sound itself.

In ‘Silences’, bursts of sonic debris are violently interrupted by stretches of quiet. Like Marcel Marceau responding to a Jacques Tati gag, the piece takes on a humorous turn as the silences stretch unpredictably.

Here Mével offers a thoroughly European argument to the rhetoric of improvised music, achieving an extraordinarily assured debut.”
— Philippe Clark

– Audeo – January 2003 – Portugal
“One of the ten best albums of 2002.”

– Jazz Magazine – November 2002 – France
“Built on short pieces and a remarkable sense of interplay, the ensemble treads on eggshells, releasing fragrances borrowed from the Viennese school and the shores of the West Coast.
An art of allusion and interiority.”
— Gérard Rouy

– Jazzosphère – 2003 – France
“The song to which Gaël Mével invites us is a call to contemplate the deep and sometimes obscure riches that form our intimacy, revealing a truer reality that we too often leave aside out of ease or lack of sincerity.
Mével ventures with pleasure along the path of a purified song, guided by companions engaged in a dialogue where their individualities transcend themselves into a living and inventive music.”

– All Around Jazz – October 2002 – New York
“One of Steve Koenig’s six albums of the month.”

– Jazzman – December 2002 – France
“A pianist with a restrained phrasing, attentive to timbre, Gaël Mével favors moments of latency—sketches of the inner breath that propels the ensemble.”

– All Music Guide – October 2002 – Canada
“That uniquely French touch.”
— François Couture

– Jazzwise – November 2002 – England
“A convincing and intriguing album from a talent to watch closely.”

– Jazz Review – November 2002 – England
“Lovers of the abstract should be encouraged to discover dream through the music of Gaël Mével.”

– Jazz Notes – December 2002 – France
“A dreamlike world, filled with poetry. One floats amid songs that carry you through a constant fragility, where whispering insinuates itself.”

– Bad Alchemy – February 2003 – Germany
“All pieces stem from Mével who, in his wild genius, concocts a kind of quasi–chamber music—introverted, subtle, and economical all at once.

The five move cautiously, as if on tiptoe, with poetic and melodic lines, harsh and noisy outbursts, guided blindly by intuition yet confident in their touch—following the trail of birds that signal paths through the darkness.”

Blow Up – December 2002 – Italy
“La Promesse du chant becomes, with each new listening, ever more complex and fascinating.”

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