Thierry Waziniak

Label:
Leo Records - CD LR79
Mai 2010
1/ Cette Nuit, Là 18:18
2/ Le Troisième Rêve De Nathanaël 23:50
Bass – Jean-Jacques Avenel
Cello – Didier Petit
Clarinet – Jacques Di Donato
Percussion – Thierry Waziniak
Piano, Bandoneon – Gaël Mevel
Producer – Gaël Mevel, Leo Feigin
Recorded By – Emmanuel Vaillant
Liner Notes [French] – Gaël Mevel
Liner Notes [Translation (English)] – Alison Taylor (7)
Music By – Gaël Mevel
Painting [Cover Painting] – Jeannick Thuai
Photography By [Inside Photo By] – Michel Di Maggio
QUINTET "Images et personnages"
- Musieklaar - Février 2011 - Hollande
"Comme il y a "haute couture" et "haute cuisine", il doit y avoir quelque chose comme "haute improvisation" : le Gaël Mevel quintet en est un exemple. Un pur délice."
- Blow up - Février 2011 - Italie
"Un disque impalpable et sublime." Piercarlo Poogio
- Blog de François Couture - juillet 2010 - Canada
"Oooooooh. Très joli, très profond, très séduisant. Le pianiste Gaël Mevel propose ici une belle rencontre de musiciens (Jacques Di Donato au son de clarinette si berçant, le violoncelliste Didier Petit, Jean-Jacques Avenel à la contrebasse et le batteur Thierry Waziniak); et un concept intéressant, où les musiciens lancent de petits haïkus musicaux, des cellules écrites insérées sur une toile de fond improvisée. Deux pièces d'une vingtaine de minutes chacunes. Elégant, mélodique, original. J'aime beaucoup."
- Jazz Magazine - sept 2010 - France
"Gaël Mevel crée un univers à partir de "personnages" de films muets que Jean-Jacques Avenel, Didier Petit, Jacques Di Donato, Thierry Waziniak, transforment en mélodies atonales, harmonies bruitistes, chuchotements énigmatiques. Une improvisation conceptuelle et sincère.
- Bad Alchemy - juin 2010 - Allemagne
"Le pianiste et joueur de bandonéon Gaël Mevel garantit une poésie aussi tendre qu'on peut à peine se l'imaginer.
Les "Haïkus" musicaux ont aidé pour les images et les personnages, pour lesquels Mevel s'est laissé inspirer par des films muets pour en tisser des fils cinématographiques qui suggèrent un état de lévitation, d'impressions et de sentiments très éloignés des formes de spectacles actuels."
- Le son du grisli - juin 2010 - France
"Le dernier album du pianiste Gaël Mevel, en quintet et pour le Label Léo Records, se compose de deux longues suites d'une vingtaine de minutes chacune.
Jamais, la musique jouée par Mevel et ses compagnons ne se départira des climats sereins, méditatifs et concentrés développés dès les premières minutes.
Sur ce disque, la musique est faite de flux et reflux, d'échappées belles et de retours en terra cognita, de boucles et de courbes.
Les notes distillées avec économie, la riche interaction entre les timbres et les instruments, lui confèrent chaleur et étrangeté.
Les musiciens, tous complices de longue date de Gaël Mevel, balaient de la main toute virtuosité et tout bavardage inutiles. Leur démarche pourrait être celle de la "route ouverte" décrite par D.H. Lawrence lorsqu'il décrivait la poésie de Walt Whitman : "La grande maison de l'âme est la route ouverte. (...)
Pas par la médiation. Pas par le jeûne. Pas en explorant paradis après paradis, intérieurement, comme les grands mystiques. Pas par l'exaltation. Pas par l'extase. Par aucun de ces moyens l'âme ne se réalise. Seulement en prenant la route ouverte."
Le langage commun, l'esperanto du quintet, c'est le silence. Gaël Mevel nous le confirme dans les notes de pochette : "Je remercie ces musiciens d'exception, inventifs et généreux qui partagent avec moi cet espace d'écoute si particulière où, en silence, tout est possible."
A notre tour de les remercier."
Pierre Lemarchand
PRESS
– Musieklaar – February 2011 – Netherlands
“As there is haute couture and haute cuisine, there must also be something like haute improvisation: the Gaël Mével Quintet is a perfect example. A pure delight.”
– Blow Up – February 2011 – Italy
“An impalpable and sublime record.”
— Piercarlo Poggio
– François Couture’s Blog – July 2010 – Canada
“Oooooooh. Very lovely, very deep, very alluring. Pianist Gaël Mével offers here a fine meeting of musicians (Jacques Di Donato, whose clarinet tone is so soothing; cellist Didier Petit; Jean-Jacques Avenel on double bass; and drummer Thierry Waziniak), and an engaging concept in which the musicians launch small musical haikus—written cells inserted into an improvised backdrop.
Two pieces of about twenty minutes each. Elegant, melodic, original. I like it very much.”
– Jazz Magazine – September 2010 – France
“Gaël Mével creates a world inspired by characters from silent films, which Jean-Jacques Avenel, Didier Petit, Jacques Di Donato, and Thierry Waziniak transform into atonal melodies, noise-like harmonies, and enigmatic whispers.
A conceptual and sincere improvisation.”
– Bad Alchemy – June 2010 – Germany
“Pianist and bandoneon player Gaël Mével guarantees a poetry as tender as one can scarcely imagine.
These musical haikus serve as aids for the ‘images and characters’—for which Mével drew inspiration from silent films—to weave cinematic threads that evoke a state of levitation, impressions, and feelings far removed from contemporary forms of entertainment.”
– Le Son du Grisli – June 2010 – France
“The latest album by pianist Gaël Mével, recorded in quintet for the Leo Records label, consists of two long suites of about twenty minutes each.
Never does the music played by Mével and his companions depart from the serene, meditative, and focused atmosphere established from the very first minutes.
On this record, the music unfolds in ebbs and flows, in graceful flights and returns to terra cognita, in loops and curves.
The notes, distilled sparingly, and the rich interaction between timbres and instruments give it both warmth and strangeness.
The musicians—all longtime collaborators of Gaël Mével—brush aside any trace of useless virtuosity or chatter. Their approach could be compared to the ‘open road’ described by D.H. Lawrence when writing about the poetry of Walt Whitman:
‘The great home of the soul is the open road. (...)
Not by mediation. Not by fasting. Not by exploring paradise after paradise inwardly, like the great mystics.
Not by exaltation. Not by ecstasy. By none of these is the soul realized. Only by taking the open road.’
The common language—the Esperanto—of the quintet is silence.
Gaël Mével reminds us in the liner notes:
“I thank these exceptional, inventive, and generous musicians who share with me this space of such particular listening, where, in silence, everything becomes possible.”
Our turn, now, to thank them.”
— Pierre Lemarchand